"Félicitations à Charlie pour sa victoire sur cette dernière transat avant le Vendée Globe, cela me rappelle nos années en Figaro. Bravo également à Boris pour avoir osé une route aussi audacieuse au nord, une option payante qui lui permet de terminer second. Je ne sais pas si j'aurais osé m'approcher autant du Groenland. C'est même étrange de penser qu'il est passé à seulement 300 milles de là. Quant à moi, demain à cette heure, nous devrions être arrivés aux Sables d'Olonne."